Dans un site merveilleux face aux aiguilles du Midi, une ancienne arrivée de téléphérique accrochée à flanc de montagne et aménagée en hôtel de 30 chambres doubles avec salles de bains, toutes personnalisées. Décor simple mais douillet. Couchage en mini-dortoir pour les enfants jusqu'à 14 ans. Terrasse sur le toit, sauna, billard à côté du bar, salon avec feu de bois. Ambiance conviviale de copains qui aiment se retrouver en groupe ou en famille.
Dans une des 34 chambres avec balcon de cette ancienne arrivée de téléphérique réaménagée en hôtel d’altitude. Accroché à flanc de montagne, ce refuge inédit à la situation idyllique (vue imprenable sur les Dents du Midi et les Dents Blanches !) ne s’atteint qu’en empruntant le téléphérique de Champéry-Planachaux. Difficile de faire mieux comme adresse «skis aux pieds»: c’est d’ailleurs chaussée de bottines qu’on pousse la porte d’entrée. Grâce à cet emplacement exclusif, on s’assure la première place sur les pistes. Difficile pourtant de se presser tant on se sent instantanément bien. Comme chez soi. Presque prête à défiler en chaussettes grâce au feu de cheminée qui trône dans la pièce principale. On hésite souvent d’ailleurs entre siroter un chocolat chaud dans un des canapés moelleux, lire la presse du jour, caresser Ralph, le rouge de Bavière du manager devenu la mascotte des lieux, ou défier son homme sur le plus haut billard d’Europe. La philosophie? Esprit écolo, pas de télé, pas de téléphone. On se coupe du monde pendant ses vacances (même si on peut se connecter au Wi-Fi et utiliser son GSM). A Plein Ciel, le temps suspend son cours. Sans aucun doute une adresse privilégiée pour les amoureux de la nature qui apprécient des instants simples, donc parfaits.
Revue et aménagée par un architecte de talent, une ancienne cabine de téléphérique au-dessus du hameau de Planachaux abrite désormais l'hôtel Plein Ciel. On accède à ce nid d'aigle, qui fait face aux Dents du Midi, en téléphérique puis en descendant le long d'une main courante. La situation est vertigineuse, mais l'adresse douillette. Les trente-cinq chambres «avec vue» sont surplombées d'un restaurant-salon aux canapés profonds, des dortoirs «Marmottes» accueillent les enfants. Par mauvais temps, la plus belle terrasse des Portes du Soleil domine une mer de nuages. Les moniteurs de ski des Crosets, la station voisine, viennent chercher leurs élèves. La petite salle de cinéma projette deux fois par jour des films, et les dîners du soir s'arrosent de l'eau d'une source voisine... Une adresse conviviale.
C’était il y a quelques années. Une bande de Belges tombe amoureuse d'une ancienne gare de téléphérique et décide d'y établir le havre de ses rêves: un lieu simple et accueillant, coupé du monde, une déco bobo et un confort certain. On y viendrait à ski, comme on accède à un refuge, on y serait accueilli en amis et surtout, on ne se prendrait pas la tête. Pari gagné. On quitte les lieux les bottes aux pieds et la larme à l'oeil, après avoir griffonné deux mots dans le livre d'or: « À bientôt ! »
Analyse d'un succès. Situation imprenable, calme garanti. En hiver, on ne peut y accéder que par le téléphérique et à ski. En été, également par une route d'alpage. Ambiance amicalo-familiale. Repaire de ces "Bobo's". Grande salle de séjour vitrée d'où la vue plonge sur les montagnes. Feu ouvert, billard, coins-repos où se mélangent tranquillement les enfants qui jouent et les adultes qui papotent. Pas de téléphone, de radio et encore moins de télévision dans les 29 chambres. On est là pour la nature, le calme, la solitude, la famille ou les amis.
À Planachaux (1.800 m), en Suisse, face à Avoriaz. Au premier coup d'oeil, l'hôtel semble comme accroché à la montagne. Tout s'explique quand on apprend qu'il a été construit dans une ancienne gare de téléphérique tout en haut de Planachaux, une petite station suisse à la frontière française... Pour la tranquillité des parents, les enfants peuvent dormir entre eux dans des dortoirs... Le plus: prendre le thé sur l'immense terrasse située sur le toit, en admirant les Dents du Midi.
Les Portes du Soleil sont le lieu rêvé de tout vacancier amoureux de la montagne en toutes saisons. Dans ce domaine grandiose aux possibilités infinies, se niche à 1.800 mètres un oasis: Plein Ciel. Cette ancienne arrivée de téléphérique métamorphosée en hôtel d’altitude est un véritable havre de beauté. Avoir eu la grande idée de réaménager ces deux blocs de béton incrustés à même la roche pour en faire un hôtel-restaurant d’altitude est une chose, l’autre est d’avoir su y créer une ambiance incroyablement conviviale, vraiment à part. D’abord avec une immense pièce à vivre où la vue panoramique avoisine les 250 degrés, autant dire qu’elle est inondée de soleil du lever au coucher. On s’y retrouve à toute heure, pour manger, boire un verre, savourer un en-cas, se vautrer autour d’un feu ouvert central dans l’un des nombreux canapés et fauteuils moelleux, faire une partie de billard, lire un bon bouquin ou les nouvelles fraîches du jour, jouer aux échecs. Côté déco, tons chauds et bois partout. Curiosités aussi comme cette ancienne luge restaurée en guise de table basse ou la cabine téléphérique aménagée en cabine téléphonique. Même souci d’authenticité au niveau des chambres avec des armoires en bois, toutes différentes, idem pour les tables de nuit, le mobilier et les accessoires. Voilà qui nous change des aménagements si impersonnels qui sévissent dans la plupart des hôtels. Ici, on aspire à autre chose. D’ailleurs, à Plein Ciel, télévision et téléphone n’ont pas cours dans les chambres. Juste une bonne connexion sans fil à internet pour ceux qui ne surfent pas seulement sur la neige. Sans oublier 300 DVD à visionner sur écran géant, un sauna et bientôt un jacuzzi. Et par-dessus tout ça, sur le toit, une terrasse solarium à 360°. Le bonheur en plein ciel.
Parce qu’ils y croyaient dur comme fer, des copains ont investi et transformé avec succès un ancien terminal de téléphérique suisse en hôtel d’altitude. Situé un peu à l’écart de Planachaux, sur le versant suisse du domaine des Portes du Soleil, Plein Ciel est une adresse «skis aux pieds», perchée à 1.800 m. On aime la terrasse qui, par beau temps, devient une redoutable tentation farniente! Tout proche, Champéry est accessible par téléphérique de 8h30 à 17h.
Hiver 1995: une bande de copains agacés par les codes hôteliers en vigueur dans les alpages rachètent un ancien terminal de téléphérique à Planachaux, versant suisse des Portes du Soleil. Un bâtiment monolithique, uniquement accessible par le téléphérique de Champéry, comme accroché aux flancs de la montagne, à 1.800 mètres d'altitude. Deux ans plus tard, Plein Ciel inaugure sa première saison. Il dispose d'une situation d'exception, puisqu'il est posé au beau milieu des pistes. L'isolement et l'accès - par les remontées mécaniques uniquement - sont plutôt envisagés comme des atouts, compte tenu de la clientèle visée. Mais les propriétaires veulent en faire un lieu définitivement à part. Pour rompre avec les habitudes de décoration locale, ils osent tout d'abord d'autres couleurs, comme l'ocre et la terre de Sienne. Le mobilier, chiné aux Puces - vieilles armoires et lampions -, fait de chaque chambre une pièce unique. Pas besoin de rappeler sans cesse qu'on est à la montagne: à Plein Ciel, les sommets enneigés se voient en permanence des baies vitrées. Décision a donc été prise d'opter pour du cosy sans chichi. A l'image des couchages « Marmottes » en mini-dortoirs, prévus pour les enfants jusqu'à 14 ans, de la grande cheminée dans le salon qui favorise les interminables discussions, ou encore du magnifique billard à côté du bar. Une convivialité qui ne se dément jamais quand, après une bonne journée de ski, dardent les derniers rayons du soleil, que l'on admire de la grandiose terrasse, face aux Dents du Midi, en se régalant d'un chocolat chaud maison. Si ce n'est pas l'endroit idéal pour se retrouver entre copains ou en famille…
Situé à 1.050 m d'altitude dans les Alpes suisses, Champéry est le dernier village de la vallée de l’Illliez, ceinturé par les massifs des dents du Midi et le domaine skiable des Portes du Soleil. Dominant le village, l'hôtel Plein Ciel apparaît comme un havre de paix. A l'origine du projet, des Bruxellois y ont insufflé une politique child oriented. L’endroit est magique avec des enfants.
Il y avait dans le plat pays des gens qui voulaient vivre leur vacances autrement. Mais l'idée a ceci d'intéressant qu'elle doit lever passablement d'inquiétudes dans les sociétés de remontées mécaniques valaisannes qui ont des soucis pour leur avenir. Une solution toute trouvée pour les gares d'altitude. Bravo les Belges!
Aujourd'hui restauré, l'hôtel Plein Ciel est la preuve sublime que des idées empreintes d'une douce folie sont souvent les meilleures. "Nous voulions aménager cet espace sans trahir le bâtiment, sans faire de camouflage"... Dans chaque pièce, de larges baies vitrées débouchent sur les spectaculaires Dents du Midi et sur les interminables kilomètres de pistes des Portes du Soleil. En été ou en hiver, la montagne en alpage ou immaculée s'aborde ici dans une véritable convivialité et une extrême sérénité.
Pour les fous de ski, de silence, de promenades méditatives et de paysages extraordinaires, dans un hameau de montagne, une ancienne arrivée de télécabine a été transformée en hôtel refuge ... Dans un décor volontairement minimaliste mais très confortable, avec salon, salle de lecture et salle de billard où crépite un feu de cheminée, trente chambres ont été aménagées : bois clair, teintes rouges, vertes ou ocre et lumières douces. Le soir quand les autres skieurs sont rentrés au village, ou le matin lorsqu'ils ne sont pas encore arrivés, sont des moments privilégiés pour savourer, presque seuls, l'immensité du décor et la solitude des pistes.
En été ou en hiver, passer des vacances dans un havre de paix et d’oxygène accroché à la montagne: c’est possible. Rendez-vous cet été à Plein Ciel! Une fois entré dans l’hôtel, le ton est donné convivialité, simplicité et charme! Toutes les chambres sont aménagées dans un style « cosy » au décor personnalisé, simple mais agréable. L’accueil souriant, l’ambiance chaleureuse, le service impeccable, les prix séduisants et la cuisine régionale font le charme de cet endroit. On se laissera séduire par ce paysage spectaculaire (les Dents du Midi) que l’on peut découvrir de la superbe terrasse sur le toit de l’hôtel. Pour des vacances en toute simplicité en plein cœur de la nature, offrez-vous la beauté et la discrétion de ce lieu hors du commun en profitant des activités sportives!
Geluk zit in de lucht staat op de site van hotel Plein Ciel. Als dat zo is, dans zit je goed in dit hoogte-hotel. Het ligt in het hart van de Portes du Soleil, op ongeveer 1800 meter. Dit voormalige kabelbaanstation is omgebouwd tot een sfeervol hotel met 28 tweepersoonskamers, 6 familiekamers, een gezellig restaurant en op het dak een terras met solarium en sauna.
Ski alpin, ski de fond, ski nocturne, snowboard, surf, randonnées et raquettes, parapente, deltaplane, patinage, curling, piscine, sauna, piste de pétanque, salle de télé avec home cinéma, billard, mini-fitness, solarium... Malgré les nombreuses activités proposées par l'hôtel Plein Ciel, ce ne sont pas elles qui font l'originalité de ce lieu. Ce 3 étoiles s'est installé dans l'ancienne gare d'arrivée du téléphérique, à 1.800 mètres d 'altitude: depuis la salle de restaurant, la vue sur la montagne se déploie à 250 degrés. L'accueil est exceptionnel: à l'arrivée à la gare de Champéry, les clients du Plein Ciel sont déjà en tenue, prêts à dévaler les pentes, alors que leurs bagages filent directement à leur hôtel.
Rappelons ici ce que l'on considère comme un tout bon plan des sports d'hiver. L'hôtel s'appelle "Plein Ciel" et il a été acheté par des copains bien de chez nous qui ont retapé ce qui autrefois n'était qu'un terminal de téléphérique. Le résultat vaut le détour: un endroit convivial embelli d'une déco de charme, situé à 1.800 mètres au milieu des montagnes valaisannes. Assez isolé, l'hôtel s'ouvre pourtant sur un domaine skiable d'exception, celui des Portes du Soleil. Au rayon des nouveautés, on pointera une formule dite de "longs week-ends" - du samedi au mercredi; l'idéal pour se concocter une évasion blanche et dépaysante.
Passer des vacances dans un havre de paix accroché à la montagne: c'était le pari d'une poignée de Belges un peu casse-cou, mais surtout bien organisés. Aujourd'hui la viabilisation des espaces est quasi terminée, avec l'ultime aménagement de cinq nouvelles chambres au printemps prochain. Le succès est au rendez-vous puisque le taux de remplissage en hiver est de 90%.
Découvrez la montagne en famille... L'hôtel est merveilleusement situé : accroché à la montagne, il domine la vallée et la vue y est splendide sur les sommets. Un accueil authentique, une cuisine savoureuse, de belles randonnées et activités sportives en perspective (vtt, parapente...), que demander de plus ?
Le nez collé à la baie vitrée de l'hôtel, on prend les Dents du Midi en pleine poire. Tout autour, le domaine skiable des Portes du Soleil déroule ses pistes cotonneuses à perte de vue. On est à 1.800 mètres d'altitude dans une ancienne arrivée de téléphérique aménagée en hôtel. «Plein Ciel» se mérite. On y accède l'hiver uniquement par téléphérique situé en amont de l'ancien terminal. Une fois en haut, on choisit de gagner l'hôtel à skis ou à pied. L'été, un chemin d'alpage ouvre la route et connecte l'hôtel au reste du monde. Ici - est-ce l'isolement? - une convivialité sans chichis s'installe entre les hôtes. Quel bonheur d'échapper à la grande claque dans le dos façon «animation-club de vacances» ou encore au redoutable côte-à-côte devant la télé, version «appartement à la montagne». Les sports d'hiver ont enfin leur solution. L'histoire de «Plein Ciel» débute comme un bon film. Quelques copains, étrangers au secteur de l'horeca mais agacés par les standards hôteliers, acquièrent un vieil hôtel pour en faire un lieu de villégiature chaleureux et familial. L'établissement s'appelle «Les Tourelles». Leur philosophie: mettre au point une démarche hôtelière qui éviterait certains travers érigés en dogme par la profession. En clair, proposer un lieu accueillant où l'impératif de profit passerait après celui de confort. Bouche à oreilles. Et ça marche. Après quatre ans, le taux d'occupation atteint 80% et l'hôtel rénové est passé de 19 à 23 chambres. Seulement voilà, chemin faisant, ils remettent cela et s'en vont voir là-haut sur la montagne. Plus exactement, à Planachaux, en Suisse, où ils trouvent un ancien terminal de téléphérique. Ils réunissent un nombre d'actionnaires potentiels et, en car, les emmènent sur le site. Le projet séduit tout le monde et, en moins de deux, grâce à une augmentation de capital, ils rachètent le site à la société des remontées mécaniques de Champéry. Deux ans plus tard, lors de l'hiver 97-98, «Plein Ciel» inaugure sa première saison. Une rapidité qui doit beaucoup à la mise en commun des énergies des différents actionnaires. Une synergie dont on retrouve la trace partout dans l'hôtel. Pour ce qui est de la déco, ils ont été plusieurs à oser les couleurs du Sud: ocre et terre de Sienne. Côté charme, le mobilier chiné aux puces, vieilles armoires et lampions en feuille de bois, fait de chaque chambre une pièce unique. Tant pis pour les amateurs de vichy rouge, «pour bien montrer qu'on est à la montagne», et des autres codes hôteliers. Côté extérieur, le bardage en bois qui habille les deux bâtiments est une véritable réussite. Mais surtout, on se laisse séduire par la terrasse. Perchée entre ciel et terre, lorsque le soleil est d'accord, on y coule des heures à la douceur incomparable. Il serait dommage de conjuguer «Plein Ciel» uniquement sur le mode hivernal. Pour preuve, l'été et ses beaux jours lui donnent également ses lettres de noblesse en permettant la pratique du canyoning, du mountain bike, de la pêche à la truite et de s'offrir quelques jolies randonnées dans les alpages à la découverte de la faune et de la flore.